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La croyance religieuse est-elle irrationnelle ?

(G.A., T.S.1 – 2009)

« Nous ne possédons pas le moyen d’affirmer ou d’infirmer l’existence d’un être suprême quelconque au-delà de l’univers connu ». Cette citation de Friedrich Engels met en avant une question philosophique, qui serait de savoir si la croyance religieuse est irrationnelle ou non. Le problème inhérent à cette interrogation est donc en ceci qu’il nous faut nous demander si, la croyance religieuse, à savoir, l’adhésion presque aveugle, en un ou plusieurs dieux, serait un fait de la raison dans le sens où elle explique en relation avec des causes et établit des relations, ou plus simplement, la raison en tant qu’elle est faculté de penser, ou ne serait-elle pas justement, irrationnelle, dans le sens où l’existence de l’essence même de cette croyance, à savoir, son Dieu, ne peut être prouvée par la raison, et serait donc, purement instinctive, ou encore, cette croyance religieuse n’est-elle pas le fruit d’une réflexion ayant amené à la conclusion qu’une telle croyance ne peut qu’apporter, comme le dit Pascal ? Pour répondre à cette question, nous allons procéder en trois différents moments. Le premier soutiendra la thèse comme quoi la croyance religieuse est purement rationnelle et que même l’existence de dieu peut être prouvée. Le second moment cherchera à montrer l’irrationalité de toute croyance religieuse de par la nature non matérielle de ces croyances. Et enfin, l’ultime mouvement nous montrera que, bien qu’indémontrable, ces croyances restent bien un fait de la raison, et encore plus, le résultat de calculs montrant qu’il serait mal avisé de ne pas y croire, comme le fait Pascal, avec son célèbre pari.

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Dans ce premier moment, nous allons démontrer que toute croyance religieuse, en tant qu’elle est persuadée de l’existence de son Dieu, est rationnelle dans le sens où une telle croyance est avant tout fondée et démontrée par la raison, c’est-à-dire, cette faculté qu’a l’homme d’établir des relations, établir des rapprochements entre des causes. En effet, la croyance religieuse est nécessairement rationnelle puisque, à cause de son immatérialité il est impossible de faire l’expérience sensible de Dieu, et donc, l’idée que l’on a de lui, et par conséquent, la croyance qu’on lui porte, vient nécessairement de la raison puisqu’elle ne peut venir de l’expérience. Ainsi, il existerait en chacun de nous, l’idée innée de Dieu, puisque cette idée ne peut venir de l’expérience. Par conséquent, force est de constater que seul Dieu lui-même aurait pu placer une telle idée en nous, ce qui montre encore une fois son existence, et donc, la rationalité de la croyance religieuse. Car en effet, si l’existence même de Dieu peut-être prouvée, alors, croire en lui est tout ce qu’il y a de plus rationnel puisque cela revient à croire, par la raison bien évidemment, en un être suprême, qui aurait créé tout l’univers, et ainsi, l’Homme. Il serait donc irrationnel que de ne pas croire en son créateur d’autant plus que l’on a prouvé son existence, ce qui prouve une nouvelle fois, la rationalité de toute croyance religieuse. La rationalité de toute croyance religieuse se baserait donc sur la preuve de l’existence de l’être en qui elle croit. De plus, si l’on part du principe que l’homme est fait de matière, il n’est pas dans la nature même de la matière que de penser ou de réfléchir : la pierre ne réfléchit pas plus que la feuille ou le nuage. Alors, il a fallu que quelque chose soit ajouté à l’homme, être doué de pensée, ce que Kant appellera faculté de raison. Cette faculté, ne peut être expliquée que par l’intervention divine, qui, plutôt que de réaliser un miracle sur de la matière pour la rendre pensante, a rajouté en elle une « âme », qui lui permettrait alors de penser. L’âme, substance immatérielle n’aurait donc pu qu’être insufflée en l’homme de par une intervention divine. Voici alors une nouvelle preuve de l’existence de Dieu, ce qui, une nouvelle fois, viens appuyer la thèse de la rationalité de toute croyance religieuse. Ainsi, le fait de prouver l’existence de Dieu, revient à démontrer la rationalité de la croyance religieuse.

Il existe trois preuves majeures démontrant l’existence de Dieu. La première de ces preuves est la preuve a contingentia mundi, c’est-à-dire, par la contingence du monde. Cette preuve part du fait que les choses sont, alors qu’elles auraient pu ne pas être, car ces choses, où ces êtres, sont contingents. Cependant, puisqu’il y a quelque chose, alors qu’il y aurait pu ne rien avoir, cela signifie que toute chose, de par le principe de causalité, est la conséquence d’une cause elle-même conséquence d’une cause antérieure. De plus, chaque cause, possédant un peu plus d’ « être » que la conséquence, plus on remonte dans la cascade des événements, plus on se rapproche d’une seule et même cause, qui serait alors cause de tout, et même, d’elle-même. Ce serait une cause nécessaire, c’est-à-dire, Dieu, seul être nécessaire dans la contingence du monde créé. Dieu serait la cause absolue, et serait la preuve de notre existence. Ainsi, l’existence de Dieu est de nouveau démontrée. Une autre preuve de l’existence de Dieu, serait la preuve dite ontologique. L’idée que l’on se fait de Dieu, est celle d’un être parfait, et ainsi, possédant toutes les qualités possibles. Ainsi, Dieu ne pourrait pas ne pas être, puisque être est une qualité. Donc, Dieu existe et c’est le seul être qui est, nécessairement. Voici alors, une nouvelle preuve de l’existence de Dieu. Enfin, une dernière preuve de l’existence de Dieu, serait la preuve cosmologico-théologique. Celle-ci nous prouve l’existence de Dieu de par l’ordre dont est fait le monde. En effet, celui-ci est doté d’un ordre, qui aurait très bien pu ne pas être, et ainsi, être un monde chaotique, par conséquent, il doit nécessairement exister un être supérieur qui aurait créé ce monde. D’où, encore une fois, la preuve de l’existence de Dieu. Ces trois preuves ont été pour la première fois énoncées par Descartes, qui croit ainsi, démontrer l’existence de Dieu. De par cette approche, on démontre aussi la rationalité de la croyance religieuse puisque cette croyance est fondée en un Dieu, dont on a rationnellement prouvé l’existence, et en qui l’on croit, par la raison également.

Nous avons donc montré dans ce premier moment que toutes croyances religieuses étaient rationnelles car celles-ci sont fondées sur un Dieu, dont nous avons prouvé l‘existence. Cependant, le problème subsiste. En effet, les lois prétendant prouver l’existence de Dieu ne prouvent, finalement, rien. En effet, et comme l’a dit Kant : « le seul moyen de prouver l’existence d’une chose, c’est d’en faire l’expérience sensible. » Or, Dieu étant un être immatériel il n’est pas possible d’en faire l’expérience sensible. Donc, toute prétendue preuve ne peut être accordée et l’existence de Dieu, ne peut devenir une certitude. Ainsi, nous allons dans ce second mouvement, montrer que toute croyance religieuse est irrationnelle dans le sens où toute croyance est aveugle car elle se fie à de fausses preuves et de nombreuses illusions, et ne peut donc être un fait de la raison en tant qu’elle raisonne. C’est la raison pour laquelle nous allons nous demander dans ce qui suit si, contrairement à ce qui nous avons exprimé dans le moment précédent, les croyances religieuses ne seraient-elles pas irrationnelles, car fondées sur un « pseudo-savoir », lui-même, non rationnel?

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Nous allons donc, dans ce second moment, prouver que toute croyance religieuse fondée sur l’existence probable d’un Dieu est irrationnelle dans le sens où ces croyances se perdent aveuglément dans des illusions que l’on ne saurait jamais prouver et donc, dont les certitudes et les avis avancés, ne sauraient être le résultat de la raison en tant qu’elle raisonne. En effet, et comme nous l’avons dit plus haut, « on ne peut prouver l’existence d’une chose, que si l’on en fait l’expérience sensible ». Par là, toutes les preuves de l’existence de Dieu sont alors réfutées mettant jusqu’à son existence même en doute. Cependant, même si cela est remis en doute, les croyants continuent de croire, même s’ils savent que leur Dieu pourrait ne pas exister. Cela n’est plus alors du ressort de la raison puisque après une telle révélation, la raison même nous pousserait vers l’agnosticisme, c’est-à-dire, l‘ignorance, l‘inaccessibilité de la vérité à propos de l‘existence de Dieu. C’est alors que les adeptes de ces croyances religieuses obéissent non plus à leur raison, mais font un acte de foi. C’est donc la foi, c’est-à-dire, la confiance aveugle que l’on porte à quelque chose ou à quelque un. Aveugle parce que cette confiance ne se fie pas à la raison en tant qu’elle évalue le degré de confiance que l’on peut porter, mais à justement, la croyance. « Il faut avoir foi ». Ainsi, la croyance religieuse n’aurait plus rien de rationnel et serait, donc, irrationnelle dans le sens où le croyant a la foi plutôt que raisonne, et par là même croit en sa religion, à son Dieu, aveuglément. Ainsi, la croyance prend alors un sens opposé au savoir, et donc, à la raison. En effet, le savoir s’acquière d’une singulière manière. D’abord, il faut faire l’expérience sensible d’une chose, puis, notre faculté de penser nous permettra de connaître, de retenir. C’est-ce qu’énonce le principe de raison de Kant. Ainsi, aucune connaissance possible du divin n’est possible puisqu’une des conditions nécessaire à la connaissance n’est pas remplie, à savoir, l’expérience sensible. Force est alors de constater que, Dieu est hypothétique, et la raison seule, ne saurait prouver son existence. Donc par là même, ce serait se fourvoyer que de penser atteindre une certaine connaissance du divin, et ainsi, toute croyance religieuse se révèle être irrationnelle.

De plus, si l’on remonte, si l’on va chercher plus loin, jusqu’à l’origine des croyances religieuses, on s’aperçoit très vite d’une chose. Ces croyances ont toujours eu pour départ l’incompréhension face à des phénomènes naturels. En effet, l’homme avait pour habitude d’associer à un fait telle manifestation divine. S’il procède ainsi, c’est qu’il ne comprend pas les causes de la conséquence, et associe donc le phénomène à un miracle, puisqu’ il ne trouve pas d’explication possible. Dieu étant le seul être capable de miracles, la religion est ainsi créée. Nous pouvons donc dire que l’origine même des croyances religieuses est faite sur une base d’irrationalité puisque faite sans la raison. C’est-à-dire que les religions se sont créées à partir de phénomènes inexpliqués, dont la raison ne trouvait pas les causes, et donc par là même, irrationnels. On pourrait prendre l’exemple de l’orage. Ce phénomène climatique a longtemps effrayé les hommes. Ceux-ci le comparaient à la fureur divine et quiconque osait défier la volonté du ou des Dieu(x) subirait les conséquences de ses actes et finirait foudroyé par la toute puissance d’un éclair de lumière. Cet éclair, que l’on croyait être l’arme de dieu, n’est finalement pas une manifestation divine car, nous l’avons compris aujourd’hui, un éclair n’est qu’un flux d’électrons allant de l’anode vers la cathode, étant respectivement le nuage et le sol, ou inversement selon la charge. Cependant, ce phénomène restait autrefois inexpliqué d’où le rapprochement avec l’intervention divine, qui est donc purement irrationnelle. De la même manière, les sciences, pour la plus grande part rationnelles en ce qui concerne la physique ou les sciences du vivant, s’opposent de plus en plus à la religion et ses fondements. L’origine de l’univers ne serait plus la Genèse et son paradis luxuriant, mais le big bang, ou encore un « rebond », comme le dit justement, la théorie du grand rebond. Darwin, quant à lui, s’oppose à la religion quant à sa théorie de l’immuabilité des espèces. Galilée, pour sa part, énonce sa célèbre phrase « et pourtant, elle tourne » après l’abjuration forcée de sa théorie de la Terre, tournant autour du soleil et non l’inverse. Toute ces sciences, rationnelles, qui ne se sont pas fiées uniquement à l’observable et ont procédé à l’étude plus poussée de leurs objets grâce à leur faculté de raisonner s’opposent aux croyances religieuses, qui sont alors, elles, irrationnelles.

Nous avons donc montré dans ce second moment que toute croyance religieuse est irrationnelle car l’essence même de ces croyances, à savoir Dieu, n’était qu’hypothétique. De plus, ces croyances étant fondées à partir de phénomènes non expliqués, cela rajoute à leur irrationalité, depuis longtemps combattue par les sciences. Cependant, le problème demeure. En effet, ces croyances portent à croire que l’on s’aveugle, où que l’on ne réfléchit pas en faisant confiance à ceux qui affirment l’existence de Dieu. Cependant, le croyant n’aurait-il pas déjà pensé à cela? Et si c’était le cas, n’aurait-il pas changé d’avis? A moins qu’il n’ait procédé à un savant calcul, qui montre que ce choix d’agnosticisme, ne doit pas être fait. Ce calcul, rationnel, a déjà été fait par Pascal, que l’on connaît sous le nom du Pari de Pascal. C’est la raison pour laquelle nous allons nous demander dans ce qui suit si toute croyance religieuse ne serait pas irrationnelle, dans le sens où elle ne peut se fier à la raison, mais rationnelle dans le sens où ne pas croire serait une erreur de raisonnement.

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Nous allons nous demander dans ce qui suit si la croyance religieuse, c’est-à-dire, le fait de croire en un Dieu et à ce qui a un rapport avec ce divin, comme le paradis, est irrationnel dans le sens où tout ce qui est avancé est dénué de tout raisonnement rationnel, mais aussi, rationnel dans le sens où, entre croire et ne pas croire, il peut se faire un calcul permettant de choisir, et faisant pencher vers le croire. En effet, comme nous l’avons dit, toute croyance religieuse est irrationnelle dans le sens où elle ne saurait affirmer l’existence de ce dont en quoi elle croit. Dieu est hypothétique, le paradis est hypothétique, les anges également. De plus, toute religion se crée, comme nous l’avons dit, à partir de phénomènes inexpliqués, comme l’éclipse solaire. Et enfin, les connaissances religieuses sont pour la plupart fausses, renforçant encore le côté irrationnel de ces croyances. Cependant, même si notre côté rationnel nous dit qu’il n’est pas possible d’affirmer l’existence de Dieu, il n’est pas non plus possible d’affirmer le contraire. Il n’est pas non plus possible de dire si tel ou tel prophète était fou, ou bien était réellement celui qu’il prétendait être. C’est donc là qu’il faut établir une nuance, entre l’hypothétique, ce qui peut, ou ne peut pas, et l’impossible. Car si l’homme est de plus en plus porté à croire en les sciences, et à leurs connaissances du réel, il ne faut pas oublier non plus que les sciences procèdent elle-même à un arraisonnement du réel, comme le dit Heidegger. En effet, cet arraisonnement du réel fait que les sciences connaissent le réel, tel qu’il est pour elles, mais pas tel qu’il est en soi, et donc, au même titre que les croyances religieuses, peuvent se tromper quant à la nature même des choses. Ainsi, les sciences elles mêmes ne deviendraient elle pas une nouvelle forme de croyance? Cependant, admettons qu’elles soient dans un plus haut degré de vérité en ce qui concerne les croyances les opposant à la religion, il reste rationnel que de croire.

Le pari de Pascal part d’un raisonnement assez simple. Il faut partir de l’idée que la condition humaine est un jeu. Dans cette vie, il va nous falloir parier. Deux choix s’offrent à nous, croire, ou ne pas croire. Si l’on ne croit pas, on vivra selon ses envies, on prendra du plaisir dans cette courte vie, et, au moment de notre mort, l’on découvrira soit, avec amertume, que Dieu existait et que l’on risque de passer une éternité de souffrance, soit rien. Par contre, s’il l’on croit, on peut passer une vie heureuse, faite de générosité, de dévouement, et aussi du respect des lois divines. Une vie, en somme plus qu’acceptable et laissant la place à un certain degré de liberté. Au moment de notre mort, nous découvrirons alors, soit rien, et peu importe puisque nous n’aurons aucun regret n’étant plus conscient de rien, soit, nous irons au paradis et goûterons à des plaisirs éternels. Dans les deux choix qui s’offrent à nous, le pari le moins risqué s’avère être le second. Et ainsi, le fait d’adhérer à une croyance religieuse que l’on pourrait croire irrationnelle se révèle être tout ce qu’il y a de plus rationnel puisque découlant d’un calcul, ou encore, pari savant, que l’on pourrait qualifier de raisonnable, dans le sens où c’est la raison même en tant qu’elle raisonne, réfléchit, qui nous a permis de faire le choix de croire.

Ainsi, dans la perspective d’un hypothétique Dieu, et donc d’un hypothétique paradis et enfer, les connaissances des croyances religieuses restent irrationnelles, et même, restent à un degré minime de vérité, les sciences expérimentales étant sûrement, dans un plus haut degré de vérité. Cependant, loin s’en faut de croire qu’il ne faut pas croire, car, à choisir entre, soit rien et le paradis, soit rien et l’enfer, pour deux vies courtes, où l’on peut avoir plaisir, la raison a vite fait de faire son choix. Tout nous pousserait alors à croire.

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Nous avons donc montré que, successivement, les croyances religieuses étaient rationnelles car, l’existence même de Dieu, et donc, de tout ce qui est, car il est le créateur, est une certitude. Ainsi, la croyance religieuse se reposerait donc sur des raisonnements rationnels. Cependant, nous avons montré que cette thèse n’était pas satisfaisante car les preuves qu’elle avançait quant à l’existence non matérielle de son Dieu; n’étaient pas acceptables puisque justement, seule l’expérience sensible permet d’affirmer l’existence. Nous avons donc montré que les croyances religieuses étaient irrationnelles dans le sens où elles se fourvoyaient complètement et donc, ne se fiaient pas à la raison, mais à la foi, comme confiance aveugle. Enfin, nous avons montré que, en effet, les connaissances, et les savoirs des croyances religieuses n’étaient pas rationnels, et que l’existence de Dieu pouvait être aussi vraie que fausse. Cependant, nous avons vu sous la forme du pari de Pascal, que du point de vue de la rationalité, dans le sens où elle raisonne, établit des relations, il était, justement, rationnel que de croire, et ainsi, nous avons montré que les croyances religieuses étaient rationnelles. Telle nous semble être la thèse la plus satisfaisante que l’on puisse soutenir par rapport au problème que l’on s’est posé. Ce problème qui était, justement, de savoir si la croyance religieuse était irrationnelle ou non. Cependant, encore faudrait il nous demander si, après un tel raisonnement, après que l’on se soit dit que l’existence de Dieu pouvait être remise en cause, et que les connaissances des croyances religieuses étaient en grande partie fausses, et qu’elles étaient aussi dictées par Dieu lui-même, et encore plus, que la croyance religieuse en générale, se base, se créée, sur des phénomènes inexpliqués, est-il encore possible de croire réellement, après avoir réfléchi sur le pari, sachant que si Dieu existe, il saura lire en nous ?

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