ar ce qui, à l’occasion de l’endormissement, glisse hors du champ de la conscience, ce qui, à l’occasion du réveil, se trouve pour ainsi dire « récupéré » par elle, ce n’est certes pas tel ou tel étant particulier, mais bien l’étant dans son ensemble. Et c’est bien pourquoi le passage de la veille au sommeil et, inversement, du sommeil à la veille ouvre à la question de l’étant en tant qu’étant, à la question de l’étantité.
:: lire l’intégralité du cours ::
Bonsoir M. Avello !
L’objet de ce message, en dehors de l’apport de la preuve que je travaille ce week-end (“que de sérieux”) est de vous remercier.
Lors d’un récent cours, vous nous éclairiez concernant l’endoctrinement social duquel il est difficile de sortir. Vous avez notamment parlé du dogme selon lequel nous avions tous le droit (et quasiment le devoir) de nous faire notre propre “opinion” des choses. Des propos initialement difficiles à écouter et à accepter…
Je commence à comprendre à quel point ce dogme est critiquable. Un remerciement plus court que prévu, mais soit.
Merci. =)
PS : Il y a peu, nous avons fait l’étude d’un texte de St Thomas d’Aquin qui traitait notamment de la légitimité du pêt à intérêt. A ce sujet, je me demandais si vous aviez eu l’occasion de voir le film-documentaire intitulé “Zeitgeist Addendum”. Il aborde le sujet, remettant particulièrement en question le système monétaire américain.
Je me disais que vous pourriez me donner votre avis…
merci, et à bientôt.